Les 7 étapes d’une reconversion professionnelle réussie

Si tu lis ces lignes, c’est peut-être parce que tu as pris une des décisions les plus importantes qui soit : celle de donner une autre dimension à ta vie professionnelle, mais aussi (et surtout) de donner du sens à ta vie en général.

Dis comme ça, ça pourrait presque paraitre simple, et pourtant il n’y a pas meilleur sujet pour se faire des cheveux blancs en avance.

Dans cet article, je te propose justement de découvrir comment construire une reconversion qui déchire.
Pour commencer, qu’est-ce qu’une reconversion qui déchire ? La première image qui vient à l’esprit, généralement (-et à tort !) ce sont des reconversions complètement improbables, comme gardien d’une île paradisiaque. Des reconversions le plus souvent faciles, rapides qui permettent de gagner plein de sous, alors que pas du tout.


En fait, une reconversion qui cartonne c’est une reconversion qui est :
– en phase avec tes aspirations et tes valeurs
– qui exploite ton potentiel et tes compétences (et crois-moi il y en a plein dont t’ignores l’existence !)
– et qui te permette d’en vivre convenablement (c’est aussi ça, une reconversion réussie)

Voilà vraiment les 3 ingrédients incontournables :
🧭 soi-même, ses envies
🤯 ses capacités
🔑 et l’argent qu’on va générer avec tout ça

Donc partant de cette définition, on devrait être toutes d’accord sur le fait que nous avons toutes et tous le droit de se construire une reconversion qui déchire 😎

Aller c’est parti pour ces fameuses étapes, yen a 7.

BONUS : je te propose de télécharger gratuitement le PDF de travail qui complète cet article. Il s’agit d’un document hyper complet qui reprend tout ce que j’écris dans cet article, avec des exercices complémentaires pour chacune des étapes ! Il est à toi en cliquant sur ce bouton :

Étape 1 : pourquoi es-tu là aujourd’hui ?

La grande question sous-jacente c’est : comment ça se passe pour toi au niveau professionnel en ce moment ? Est-ce que tu ne te sentirais pas un peu paumée ? Avec des interrogations comme :
… »je change ou je ne change pas de job ? »
… »radicalement ou juste de secteur d’activité ? »
… »en même temps j’en ai vraiment raz-le-bol…et si je montais ma boîte ?? »
… »enfin, j’sais pas, c’est chaud quand même.. »
… »et puis qu’est-ce que les autres vont dire quand je vais leur annoncer que je me reconvertis ? »
… »le truc c’est que je veux pas subir ma vie non plus, je dois me prendre en main et assumer »

Ça te parle et ça tourne en boucle dans ta tête, nuit et jour, du matin au soir ? Mais personne ne le sait, évidemment. Tu gardes ça pour toi, un peu honteuse, et surtout carrément perdue. Et à juste titre, car c’est vraiment le moment le plus inconfortable de la reconversion, car tu te sens entre deux eaux, à un tournant décisif de ta vie. Tu ressens en toi le besoin profond de changer, tu sens que c’est un besoin latent et important, qui te prend les tripes. Et en parallèle, tu as une trouille bleue de passer à l’action, tout s’emmêle : le temps, l’envie de changement, l’argent, le statut social, le regard des autres, le désir d’épanouissement, la quête de sens, le besoin de sécurité, la légitimité, etc. La liste est longue, on pourrait continuer longtemps !

Alors tu fais ce qu’on fait toutes : tu attends.

Tu ne sais pas trop ce que tu attends ni pourquoi, mais tu attends quand même ! Au cas où quelqu’un vienne toquer à ta porte et te dise « Coucou, voici LA solution à ta crise existentielle professionnelle : il faut que tu fasse ça, ça et ça. Bye ».
Ça sonne un peu stupide non ? Et pourtant c’est normal. Pétrifiée à  l’idée de se tromper, de dépenser de l’énergie inutilement, on évite les grandes décisions qui pourraient nous mettre en danger, ou du moins nous fragiliser. Comme dit l’adage « on sait ce que l’on perd, on ne sait pas ce qu’on gagne ». En fait, on se protège, tout simplement.


Pour apporter de la clarté à ta situation et avant de te projeter dans une autre vie, je te propose de commencer par le commencement, c’est-à-dire TOI.

Tu n’es pas là par hasard !

Vouloir changer de job à tout prix s’explique par une multitude de raisons, nous avons chacune les nôtres, parfois c’est un panaché complet qui nous indique que la coupe est pleine :

– ennui, l’absence de responsabilités, le manque de challenge
– sentiment d’en avoir encore sous la pédale et de gâcher son potentiel
– désillusion : la déception entraîne petit à petit l’aigreur et l’épuisement (moral et physique)
– manque de sens : quand on se demande à quoi sert son travail, pourquoi on le fait, et qu’est-ce qui changerait si on n’était pas là
– erreur d’orientation dans les études
– burn-out, la pression insupportable
– hiérarchie infantilisante et oppressante
– un job routinier avec le sentiment de vivre la même année chaque année
– impression de ne pas être à sa place, avec des réflexions intérieures comme « qu’est-ce que je fais là ?! ». Ce sentiment se manifeste souvent quand on n’est pas en phase avec les valeurs de l’entreprise pour laquelle on travaille et/ou les gens avec qui on droit travailler.

Étape 2 : qui es-tu vraiment ?

Pour commencer, je voudrais partager avec toi le secret d’une reconversion parfaitement réussie. Ce secret, -qui n’en est pas un du reste, c’est de bien mener la partie d’introspection. Je t’en ai parlé dans l’étape 1 et je voudrais m’y arrêter un peu plus en détail.


Le mot « introspection » peut faire un chouia peur, pourtant l’expérience m’a montré que c’est une étape incontournable pour une reconversion 100% réussie. À condition bien sûr que ça soit fait intelligemment. Faire de l’introspection pour faire de l’introspection ne sert à rien du tout (et c’est même totalement inefficace !). En revanche, faire ce travail pour servir la construction de ton futur projet professionnel, c’est le top 👍

Cette étape est le bon moment pour mettre le focus sur la personne que tu es vraiment. C’est-à-dire, identifier un certain nombres de choses comme :

tes qualités : ce sont des traits de caractère qui te sont propres et sur lesquels tu pourras capitaliser
tes fragilités : dans ce cas, il est important de les connaître aussi, pour pouvoir les surmonter ou les contourner (plutôt que faire comme si elles n’existaient pas et foncer droit dans le mur). Par exemple, il est peut-être inutile de s’entêter à vouloir devenir commerciale si tu as une angoisse viscérale de vendre quelque chose, de décrocher le téléphone quand tu ne sais pas qui es au bout du fil.
tes valeurs : on parle ici de valeurs morales et personnelles. Ce sont les critères de choix qui te guident au quotidien, ce en quoi tu crois profondément. Tes valeurs sont essentielles pour toi, elles forgent la femme que tu es. Lorsque tu ne les respectes pas, tu te sens profondément mal à l’aise. Voici quelques exemples : la loyauté, la famille, l’amitié, le développement durable, l’éducation bienveillante, la liberté, l’éthique professionnelle, l’altérité, l’égalité, le travail, la justice etc.

Étape 3 : ce que tu sais déjà

Voici le moment de se pencher sur ce que tu sais déjà, précisément ce que tu sais déjà faire. Parce que, même si tu es persuadée du contraire, tu sais plein de choses. Et ce plein de choses est ni plus ni moins que des compétences et des savoir-faire.

Au fait, c’est quoi une compétence ?

Une compétence est une connaissance approfondie et maîtrisée, un savoir-faire opérationnel validé qui donne la légitimité de juger, de décider et d’agir. Voilà pour la définition plutôt indigeste (ne me remercie pas 😎).

Dans la vie réelle, il s’agit de ce que tu sais faire appliqué à l’exercice d’un métier ou d’une tâche spécifique. Cette étape est très importante (comme toujours). Elle t’ouvre les yeux sur ce que tu maîtrises. Elle te permet de te rendre compte de l’ampleur de ce dont tu es capable. Et surtout, ces compétences pourront être mises au service de ton futur projet professionnel.

En fait, le job c’est d’aller ratisser tout, absolument tout ce que tu maîtrises, ce que tu sais, ce que tu as appris durant tes études et/ou tes expériences professionnelles. Et cela afin de constituer une boîte à outils de compétences que tu vas réutiliser pour ta reconversion. Très souvent après avoir fait ce travail, mes clientes me disent en séance de coaching “whaou jamais je pensais savoir faire autant de choses ! C’est bizarre, je savais les faire, mais je n’en avais pas conscience du tout. Mises bout à bout, ça en fait des compétences en stock. En plus du plaisir de la révélation, c’est un shot de confiance en soi hyper efficace !

Étape 4 : ce qui t’anime

Maintenant, il est temps de comprendre ce qui te fait briller et quelles pépites tu as en toi ! Souvent, même très souvent (pour ne pas dire touuut le temps) on lit le mot “passion”. Le terme est employé à tout bout de champ : “quelles sont vos passions”, “faites de votre passion votre métier”, etc.

Personnellement, le terme m’a toujours mise un peu mal à l’aise, parce que d’après la définition que je donne à ce mot, je ne me considère pas comme quelqu’un de passionnée. Enfin, si, je suis passionnée, mais pas par quelque chose en particulier au point d’en faire une passion absolue. Par exemple, j’adore la nature et les arbres, pourtant je suis incapable de citer le nom des espèces à part 3 ou 4 variétés, je ne connais pas par cœur les paroles de mon groupe de musique préféré…(enfin si, quand j’étais ado, mais je pense pas que ça soit une passion à valoriser lors d’un entretien d’embauche…). Du coup, j’avais toujours
l’impression d’être insignifiante, genre coquille vide 😩

Pourtant, je suis tout le contraire. Vraie touche-à-tout, curieuse, j’adore apprendre, lire des romans policiers, avoir une discussion passionnante avec quelqu’un, peindre de jolis tableaux pour la chambre de ma fille. J’apprécie le jardinage, me balader en montagne. J’aime cuisiner pour les gens que j’apprécie, les soirées d’été qui ne se terminent plus. Je prends plaisir à écouter des podcasts inspirants, j’aime observer les gens quand je suis en terrasse et deviner leur vie. J’aime grignoter du pain et du chocolat… Je m’arrête là mais je pourrais continuer toute la journée ! Bref je suis une multitude de petites choses, ces petites choses qui font que je suis unique et passionnée par…la vie, tout simplement.

Mais alors pourquoi cette prise de tête sur les passions ?

Avec le recul, j’ai compris qu’on nous demande systématiquement quelles sont nos passions dans le but de mieux nous connaître et de cerner notre personnalité. Difficile de répondre à cette question en 2 phrases. Et c’est justement ce qui peut être hyper frustrant. J’ai pris le parti de ne pas à proprement parler de “passion” dans mes accompagnements, même si c’est évoqué de temps à autre. En revanche, je mets la barre haute en ce qui concerne les talents.

Parlons plutôt de talent !

Alors, le talent c’est quoi ? C’est ce que nous faisons très bien, naturellement, spontanément, sans que cela nous coûte d’effort. Le talent est partout, chez tout le monde. Ce n’est pas obligatoirement quelque chose d’extraordinaire. Ça peut être n’importe quelle action au quotidien que tu fais avec plaisir, réussite, rapidité, et qui étonnera les autres.

Étape 5 : collecte les idées et approfondis

C’est le moment d’aller explorer, de se perdre pour mieux se retrouver.

Première étape : collecter

À l’heure où tu lis ces lignes, deux cas de figures se présentent à toi : tu as peut-être des idées en tête. OU ALORS tu as zéro idée. Nada. Néant absolu et tu te demandes si tu n’es pas en train de devenir cinglée.

Cas 1 : tu as des idées de reconversion

Le problème c’est que tu as l’impression de partir dans tous les sens, de t’éparpiller sans vraiment aboutir à un projet qui tient la route. Au plus tu y réfléchis, au plus tu doutes. Finalement, tu es flippée de prendre une décision, par peur de faire le mauvais choix.

Pour l’instant, je te conseille de faire le point de toutes ces idées, écris-les noir sur blanc et observe-les. Que ressens-tu ? Tu peux aussi les formuler à voix haute. Le fait de parler à haute voix est un outil super puissant pour prendre la dimension d’une idée et de voir comment elle résonne.

Cas 2 : tu es bloquée

L’absence d’idée peut avoir plusieurs origines. Ca peut venir du fait que tu t’es mis une pression énooorme sur les épaules, en t’obligeant inconsciemment à avoir THE idée géniale et réalisable, sinon c’est même pas la peine d’y accorder de l’importance. Autre raison : tu es dans une période apathique, sans énergie, sans jus, sans envie. C’est particulièrement le cas après un burn-out. Dans ce cas, laisse-toi du temps pour te reconnecter à toi-même et à tes émotions.

Enfin, cela peut venir de la peur. La reconversion est par définition une période d’instabilité et de changement, que nous vivons avec plus ou moins de difficulté. Elle nous oblige à sortir de notre zone de confort et à nous frotter à ce que nous ne connaissons pas.
Je te conseille la stratégie des petits pas et la “dépressurisation” : rêver, imaginer, cogiter ne demandent pas de passer à l’action et n’engage aucune action concrète si ce n’est de faire des recherches sur internet. La prise de risque est inexistante, alors fonce, et ne dis rien à personne si tu n’en a pas envie ! #jardinsecret

Deuxième étape : approfondir

Mets en perspective les idées qui ont émergées. Certaines vont résonner plus que d’autres en toi, c’est à ces ressentis que je te demande de prêter particulièrement attention. Il est indispensable de questionner chacune de ces idées et d’aller chercher la réponse à la question pourquoi ?

Étape 6 : se libérer des peurs et des blocages

Maintenant je te propose de travailler sur tes peurs et tes blocages. Je te rassure, aucun individu qui s’est reconverti ne l’a fait sans peur. La peur est inhérente à la reconversion, elle se matérialise de différentes façons et à travers différentes thématiques selon le stade où tu en es de ta réflexion.

Petit tour d’horizon des peurs les plus fréquentes et comment surmonter ces blocages :

Peur du changement

Comme je te le disais les jours précédents, la peur du changement vient du fait que nous soyons obligée de sortir de notre zone de confort. La zone de confort est cet état où nous maîtrisons notre environnement : lieu de vie, partenaire, travail, salaire, sujets de discussion etc. Dès lors que nous en sortons, (de façon voulue ou subie) nous remettons en cause cet équilibre.

Et là, notre cerveau dont la seule mission est de nous maintenir en sécurité, s’affole. Et donc nous stressons, prêtes à faire marche arrière. Cela dit, la zone de confort est une prison dorée : elle nous empêche de tenter la moindre expérience, la moindre nouveauté.

Peur du jugement et du regard des autres

C’est humain, nous nous comparons aux autres naturellement, une façon de mesurer notre propre valeur et de nous rassurer. Et donc, nous avons la fâcheuse tendance à attendre la validation de nos pairs. Sauf que dans le cadre de la reconversion, il faut faire preuve de méfiance.
Car le changement (cf. point juste au-dessus !) est perçu différemment par tout un chacun. Annoncer qu’on se reconvertit donne l’impression d’être quelqu’un d’instable, qui ne sait pas ce qu’elle veut, trop exigeante. A fortiori quand on n’en est pas à son coup d’essai (double reconvertie à 34 ans, je sais de quoi je parle).

>> Le/la partenaire de vie peut se sentir fragilisé(e) à l’annonce d’une reconversion. Non pas qu’il/elle ne nous la souhaite pas, mais cela signifie qu’il/elle endossera des responsabilités notamment financières et que la famille sera impactée. Avant de lui crier à quel point il/elle n’est pas à l’écoute, tiens compte de son ressenti !

>> On peut aussi craindre de décevoir ses parents qui ont investi de l’argent pour nos études, mamie qui nous voit déjà dormir sous un pont…

>> Je me permets aussi un petit focus sur le cercle amical : il peut arriver d’être déçue par la réaction d’ami(e) lorsque tu annonces que tu vas changer de vie professionnelle. Et tu ne comprends pas pourquoi : ça fait des mois que vous discutez d’à quel point vous en avez ras-le-bol de vos jobs et de ce que vous feriez à la place, pourquoi est-ce que maintenant il/elle vous dit que vous faites une grosse erreur ??

Et bien parce que si beaucoup de monde veut changer de boulot, en fait très peu de personnes font la démarche de vraiment changer.

Cette réaction à ton égard n’est que la projection de leurs propres peurs. Et la pointe d’envie de te voir changer pour de vrai, alors qu’ils en rêvent secrètement. Te voilà avertie…

Peur de se tromper

Est-ce que ça va vraiment me plaire ?! Il est effectivement légitime de te demander si ce que tu envisages est vraiment fait pour toi. D’ailleurs c’est une très bonne chose que tu te poses la question. La meilleure façon de dépasser cette peur, c’est de se renseigner, tester, aller à la pêche aux infos. Tant que tu ne te seras pas confrontée à la réalité, tu ne pourras jamais vraiment savoir.

Peur de ne pas y arriver

La reconversion est un vrai marathon. Souvent, on aborde la question dans l’état d’esprit du sprinter : on est à fond, et on part comme une balle. Sauf qu’il faut préserver son énergie, car le parcours est semé d’embûches. Cela va peut-être impliquer l’acquisition de nouvelles compétences, qui passera par l’obtention d’un diplôme, il peut aussi y avoir la condition de l’obtention d’un prêt bancaire, d’un recrutement etc.


Tu y arriveras si tu calibres ton projet le plus finement possible, si tu connais tous les tenants et les aboutissants. Pour ne pas avoir de surprise en chemin et devoir faire demi-tour.

Étape 7 : choix et plan d’actions

À ce stade, tu approches furieusement de la concrétisation de ton idée de projet professionnel !
Dernière étape et pas des moindres : faire son choix et établir son plan d’action qui te permettra de mettre en œuvre les différentes phases de ton projet.

Il y a une équation que tu vas devoir résoudre absolument, si tu veux optimiser et réussir ta reconversion professionnelle :
parfaite connaissance de soi + un projet aligné + un plan d’actions organisé et planifié = une reconversion 100% alignée avec qui tu es

Les difficultés que tu rencontrent à ce stade sont diverses :

– Tu n’es pas convaincue d’être sur les bonnes pistes : alors c’est que les étapes précédentes n’ont pas été assez approfondies ! Tu comprends pourquoi j’insiste sur le fait d’avoir une connaissance authentique, vraie et bienveillante de ce que tu es.
– Le choix a u mal à être arrêter : entre plusieurs idées ton cœur balance. Quels sont les critères sur lesquels tu bases ta décision ?
– Tu as ton idée et elle fait battre ton cœur mais tu ne sais pas par quoi commencer : pars du commencement et demande-toi de quoi tu auras besoin et quand.

Ça parait simple dit comme ça en quelques lignes, mais ne t’y méprends pas, c’est un travail de dingue !

Le mot de la fin !

Voilà, tu sais maintenant exactement quoi faire pour construire une reconversion qui déchire avec des axes de travail clairs. Mais ne t’y méprends pas : ça parait simple dit comme ça en quelques lignes, mais c’est un travail de dingue ! Bon courage 😉

Ah oui et si ce n’est pas déjà fait, télécharge gratuitement ton document de travail en PDF, tu trouveras toutes les ressources présentes dans cet article, avec des exercices complémentaires pour t’aider dans ta réflexion. En plus, je me suis attachée à faire un design hyper sympa à regarder 😊 Profites-en, il t’attend !

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